Tant de nuits d'été
Pour mettre son nez dehors
Sous les étoiles
Flûte alors, on voyait mieux en vrai que sur ces photos pfff !!
barbouille le 03-09-2009 à 16:28:47 #
ben, on voit carrément rien ?!!!!!
heureusement qu'on connait Cassiopée, sinon, tu serais obligée de nous décrire cette constellation !!
D'ailleurs tu peux nous faire un dessin ?????
Et si quelqu'un sait ce que c'est, merci de me donner
le nom de ces petites bêtes dans les commentaires
barbouille le 03-09-2009 à 16:32:55 #
Pour ma part, j'aurais dis cigale, mais j'suis pas sure ...
Par contre voici un article qui confirme que cela peut être un insecte :
"Chez la plupart des insectes hémimétaboles, comme les criquets, les sauterelles, les punaises, les mantes religieuses et les forficules, les très jeunes larves n'ont pas d'ailes. Mais après une ou plusieurs mues, des ébauches d'ailes apparaissent, puis s'allongent progressivement d'une mue à l'autre. La dernière mue constitue le passage à la vie adulte. Les ailes deviennent alors fonctionnelles et l'insecte acquiert toutes ses caractéristiques sexuelles."
Voilà !! J'ai étalé mon savoir internetal !!! :-)
La toile blanche
Est plus rude que l'hiver
Pour celui qui peint
(Haïku)
♫♫♫♫
Ecoutez et lisez l'article ci-dessous
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V
sandie le 21-08-2009 à 16:45:23 # (site)
un p'tit coucou en passant magnifique haiku, j'ai un peu abandonné le sujet depuis quelques temps mais je compte bien y revenir....tes mots me donnent envie de "haikuté" à nouveau !
Le peintre de l’âme
Texte de Michel G. & Musique et interprétation de Nelly H.H.
Quand je suis installé
Devant mon chevalet
Rien ne saurait me divertir
De mon tendre délire
Je choisis les couleurs
En fonction de mon cœur
J’adopte les nuances
Les tons les plus intenses
J’écrase sur la toile
Des amas de douleur
Ou glisse comme un voile
Des aplats de douceur
Je suis le peintre des états d’âme
Le virtuose du vague à l’âme
Je peins avec ma foi Je sais peindre le froid
Je peins avec ma flamme Je sais peindre le drame
Au bout de mon pinceau La terreur de l’agneau
Les matières chatoient Lorsqu’il entraperçoit
Comme des oriflammes Les reflets de la lame
En effleurant d’un doigt Pour souligner l’effroi
La noblesse d’un homme La détresse d’un môme
J’écarte le rideau Je me change en faisceau
Et, pour lui, j’entrevois Et, pour lui, je déploie
Un rêve polychrome Les caresses d’un baume
Je peins le désarroi De mes fibres de soie
Avec des traits infâmes Je souligne la trame
Glissant dans un rinceau D’une fleur qui éclot
L’infortune des rois S’étire, se déploie
Que la rumeur diffame S’abandonne et se pâme
Je peins les pisse-froid Faut-il par devers soi
Avec des bruns qui crament Lorsque son cœur réclame
Ecrasant au couteau Etouffer ses sanglots
D’un geste maladroit Ou s’accorder le droit
La matière sous la lame De peindre avec ses larmes
Je transcende la joie Comment cacher l’émoi
Du héros qu’on acclame Quand transparait le charme
La grâce d’un oiseau Derrière vos yeux mi-clos
Sur le roseau qui ploie Et que l’être atermoie
Au jeu d’un calligramme Pour mieux rendre les armes
Je suggère la proie De couleurs qui chatoient
Le complot qui se trame Je vais avec mon âme
Je mets dans mes tableaux Nimber dans un halo
Des teintes qui poudroient Ce désir que renvoie
Au-delà de la gamme Un amour qui s’enflamme
J’entends la lune tout là-haut
Me murmurer dans mon sommeil
Une berceuse sans un mot
Juste des notes en éveil
Dans la nuit avec mes yeux clos
Je sens la lune m’effleurer
Réveillant de frissons ma peau
Pour des songes entremêlés
Au petit matin tout là-haut
La lune tombant de sommeil
Laisse sa place sans un mot
En s’effaçant face au soleil
♫♫♫♫♫
Compo "Salsa Caracas"
Les promeneurs
S’en sont allés
A l’intérieur
De leur foyer
Côte à côte
Face à la mer
Sur la côte
Silence amer
Les cris d’enfants
Se sont éteints
Juste un instant
D’ici demain
Ils s’approchent
Face au destin
Ils ébauchent
Un lendemain
Commentaires
barbouille le 03-09-2009 à 16:27:27 #
ben, qu'est-ce que tu attends pour faire quelque chose sur la belle toile blanche ????
Ou sont partis tes talents ????? :-)